Chansons paillardes

 

 

 

Á L'AUBERGE DE L'ÉCU

Dans notre ville est venu (bis)
Un fameux joueur de luth. (bis)
Il a mis sur sa boutique,
Pour attirer la pratique :
A l’auberge de l’écu,
On apprend à jouer de l’épinette,
A l’auberge de l’écu,
On apprend à jouer du ...

Refrain :
Trou la la, trou la la,
Trou la, trou la, trou la laire,
Trou la la, trou la la,
Trou la, trou la, trou la la.

Toutes les filles de Paris,
De Montmartre à Saint Denis,
Ont vendu leurs chemisettes,
Leurs fichus, leurs collerettes,
Pour avoir un p’tit écu,
Pour apprendre à jouer de l’épinette ...

Une jeune fille se présenta,
Qui des leçons demanda.
"Ah ! Que ces leçons sont bonnes,
Il faudra qu’on m’en redonne.
Tenez, voilà mon p’tit écu,
Pour apprendre ..."

Une vieille à cheveux gris
Voulut en tâter aussi.
"Par la porte de derrière,
Faites-moi passer la première.
Tenez, voilà mon vieil écu,
Pour apprendre ..."

"Vieille, retournez-vous-en,
Et reprenez votre argent,
Car ce n’est pas à votre âge
Qu’on entre en apprentissage.
Vous avez trop attendu,
Pour apprendre ..."

La vieille en s’en retournant
Marmonnait entre ses dents :
"Ah ! Vous me la baillez belle,
De me croire encore pucelle.
Voilà cinquante ans et plus
Que j’apprends ..."

La morale de ceci,
Je vais vous la dire :
Quand on est jeune et belle,
Il n’faut pas rester pucelle,
Faut profiter d’son écu,
Pour apprendre ...

 

 

 

ADIEU FAIS-TOI PUTAIN

Tu vas quitter ta bonne mère,
Pour t’en aller dans un boxon.
Je ne te retiens pas ma chère,
Si c’est là ta vocation.
Suis bien les conseils de ta mère,
Avant toi je fis ce métier.
Tu n’as jamais connu ton père,
C’était peut-être tout le quartier.

Adieu, fais-toi putain.
Va t’en gagner ton pain.
Adieu ! Ma fille, adieu !
A la grâce de Dieu !


Evite surtout la vérole,
Chancres, poulains, et cætera ...
Et ne crois jamais sur parole,
Le fouteur qui te baisera.
Regarde bien si sa culotte
Cache un vit bien entretenu.
Découvre toujours la calotte,
Avant de lui prêter ton cul.

Respecte bien la maquerelle,
N’offense pas le maquereau.
Tâche de te conserver belle,
Et surtout n’épargne pas l’eau.
Trois fois par jour, dans la cuvette,
Lave ton cul bien proprement,
Et dans la table de toilette,
Que l’onguent gris soit abondant.

 

 

 

AH LA SALOPE

 

Il était une fille qui s'appelait Suzon
Et qui aimait à rire avec tous les garçons.

Refrain :
Ah ! La salope, va laver ton cul malropre,
Car il n'est pas propre, tirelire, (bis)
Car il n'est pas propre, tirela (bis)

Et qui aimait à rire avec tous les garçons.
Mais à force de rire son ventre devint rond.

Mais à force de rire son ventre devint rond.
Sa mère lui demande : "Qui t'a fait ca, Suzon ?"

Sa mère lui demande : "Qui t'a fait ca, Suzon ?"
- C'est l'fils du gard'-barrière, par derrière sa maison.

C'est l'fils du gard'-barrière, par derrière sa maison.
Il a mis sous ma robe un gros bâton tout rond.

Il a mis sous ma robe un gros bâton tout rond.
Au bout y'avait d'la crème. Mon Dieu, que c'était bon !

Au bout y'avait d'la crème. Mon Dieu, que c'était bon !
Si c'était à refaire, nous recommencerions.
 

 

 

 

ALLONS Á MESSINE

 

Ils étaient deux amants
Qui s'aimaient tendrement
Qui voulaient voyager
Mais ne savaient comment.

Refrain :
Allons à Messine
Pêcher la sardine
Allons à Lorient
Pêcher le hareng.

Qui voulaient voyager
Mais ne savaient comment

Le vit dit au con :
Tu seras bâtiment.

Refrain

Je serai le grand mât
Que l'on plante dedans.

Refrain

Mon rouston de droite
Sera commandant.

Refrain

Mon rouston de gauche
Sera lieutenant.

Refrain

Les poils du cul
Seront les haubans.

Refrain

Et les morpions
Grimperont dedans.

Refrain

La peau de mes couilles
Fera voile au vent.

Refrain

Le trou de mon cul
Soufflera dedans.

Refrain

Sacré nom de Dieu
Ca puera bougrement.

 

 

 

 

BRANLE CHARLOTTE

 

Dans son boudoir la petite Charlotte
Chaude du con faute d'avoir un vit
Se masturbait avec une carotte
Et jouissait sur le bord de son lit.

Refrain :
Branle, branle, branle Charlotte
Branle, branle, ça fait du bien
Branle, branle, branle Charlotte
Branle, branle, jusqu'à demain.

Ah! disait-elle dans le siècle où nous sommes
Il faut savoir se passer des garçons,
Moi pour ma part je me fous bien des hommes
Avec ardeur je me branle le con.

Refrain

Alors sa main n'étant plus paresseuse
Allait venait comme un petit ressort
Et faisait jouir la petite vicieuse
Aussi ce jeu lui plaisait-il bien fort.

Refrain

Mais ô malheur, ô fatale disgrâce
Dans son bonheur elle fit un brusque saut
Du contrecoup la carotte se casse
Et dans le con il en reste un morceau.

Refrain

Un médecin praticien fort habile
Fut appelé qui lui fit bien du mal
Mais par malheur la carotte
Indocile ne put sortir du conduit vaginal.

Refrain

Mesdemoiselles que le sort de Charlotte
Puisse longtemps vous servir de leçon
Ah croyez moi laissez là la carotte
Préférez lui le vit d'un beau garçon

Refrain

Baise, Baise, Baise Charlotte
Baise, Baise, ça fait du bien
Baise, Baise, Baise Charlotte
Baise, Baise, jusqu'à demain.

 

 

 

 

CAROLINE LA PUTAIN

 

Ah ! Mes amis, versez à boire,
Versez à boire du bon vin,
Tin tin, tin tin, tin taine et tin tin ;
Je m’en vais vous conter l’histoire
De Caroline, la putain,
Tin tin, tin taine et tin tin .

Son père était un machiniste
Au théâtre de l’Odéon,
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton ;
Sa mère était une fleuriste
Qui vendait des roses en boutons,
Ton ton, ton taine et ton ton.

A 14 ans, suçant des pines,
Elle fit son éducation,
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton ;
A 18 ans, dans la débine,
Elle s’engagea dans un boxon,
Ton ton, ton taine et ton ton.

A 24 ans, sur ma parole,
C’était une fière putain,
Tin tin, tin tin, tin taine et tin tin ;
Elle avait foutu la vérole
Aux trois-quarts du quartier latin,
Tin tin, tin taine et tin tin.

Le marquis de la Couille-Molle
Lui fit construire une maison,
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton ;
A l’enseigne du « Morpion qui vole »,
Une belle enseigne pour un boxon,
Ton ton, ton taine et ton ton.

Elle voulut aller à Rome,
Pour recevoir l’absolution,
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton ;
Le pape était fort bien à Rome,
Mais il était dans un boxon,
Ton ton, ton taine et ton ton.

Et s’adressant au grand vicaire,
Elle dit : « J’ai trop prêté mon con ! »
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton.
« Si tu l’as tant prêté, ma chère,
Eh bien, alors, prête-le-moi donc ! »
Ton ton, ton taine et ton ton.

Et la serrant entre ses cuisses,
Il lui donna l’absolution
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton ;
Il attrapa la chaude-pisse,
Et trent’six douzaines de morpions,
Ton ton, ton taine et ton ton.

Elle finit cette tourmente
Entre les bras d’un marmiton
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton ;
Elle mourut la pine au ventre,
Le con fendu jusqu’au menton,
Ton ton, ton taine et ton ton.

Ah ! Quand on la mit en bière,
On vit pleurer tous ses morpions
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton ;
Puis quand on la mit en terre,
Ils s’arrachèrent les poils du con,
Ton ton, ton taine et ton ton.
 

 

 

 

C'EST Á BOIRE QU'IL NOUS FAUT

Refrain
C'est à boire, à boire,
C'est à boire qu'il nous faut

C'étaient cinq à six bons bougres
Qui venaient de Longjumeaux
Ils entraient dans une auberge
Pour y boire du vin nouveaux, Oh !

Refrain

Chacun fouilla dans sa poche
Quand fallu payer l'écho
Le plus riche retourne la sienne
Et n'y trouve qu'un écusson Oh !

Refrain

Non de non dit la patronne
Qu'on leur prenne leur chapeaux
Sacrebleu dit la servante
Leurs falsars, leurs godillots Oh!

Refrain

Et quand ils furent en chemise
Ils montèrent sur les tonneaux
Non de non dit la patronne
Qu'ils sont noirs, mais qu'ils sont beaux Oh!

Refrain

Non de non dit la patronne
Qu'ils sont noirs, mais qu'ils sont beaux
Mais ici les beaux gars boivent
Mais ne payent pas leurs échos Oh!

Refrain

 

 

 

 

DE PROFUNDIS MORPIONIBUS

 

O muse prête-moi ta lyre
Afin qu’en vers je puisse dire
L’un des combats les plus fameux
Qui se déroulèrent sous les cieux.

Refrain :
De profundis morpionibus
Et secatis roupettibus
Et excita verolabus.


Dans un vagin de forte taille
600 000 poux livraient bataille
A un nombre égal de morpions
Qui défendaient l’entrée du con.

Le choc fut épouvantable
On croyait que c’était le diable
Les femm’s enceintes en accouchant
Chiaient d’la merde au lieu d’enfants.

La bataille fut gigantesque
Tous les morpions périrent ou presque
A l’exception des plus trapus
Qui s’accrochaient aux poils du cul.

Ils ont bouché presque la fente
Que les morpions morts ensanglantent
Et la vallée du cul au con
Etait jonchée de morpions.

Le commandant d’une escouade
Voyant périr ses camarades
Cria : Morpions ! Nous sommes foutus
Piquons un’ charge au trou du cul.

Un morpion de noble origine
Qui revenait de Palestine
Leva sa lance et s’écria :
Les morpions meurent et n’se rendent pas.

Pour reprendre l’ avantage
Les morpions luttaient avec rage
Mais leurs efforts furent superflus
Les poux gardèrent le dessus.

Le général nouvel Enée
Sortant des rangs de son armée
A son rival beau chevalier
Propose un combat singulier.

A ch’val sur un poil de roupette
Armé d’une longue lorgnette
Le capitaine des morpions
Examinait les positions.

Tout à coup un obus arrive
Qui lui fait perdre l’équilibre
Le capitaine est bien foutu
Il tombe au fond du trou du cul.

Bardé d’un triple rang de crasse
Transpercé malgré sa cuirasse
Le capitaine des morpions
Tomba sans vie au fond du con.

Un morpion motocycliste
Prenant la raie du cul pour une piste
Vint avertir l’état-major
Que le capitaine était mort.

Pour retirer leur capitaine
Tous les morpions firent la chaîne
Mais hélas vains furent les efforts
L’abîme ne rend pas ses morts.

Puis au plus fort de la bataille
Soudain frappé par la mitraille
Le maréchal des morpions
Tomba mort à l’entrée du con.

Un soir au bord de la ravine
Tout couvert de foutre et d’urine
On vit un fantôme tout nu
A cheval sur un poil du cul.

C’était l’ombre du capitaine
De chancres et d’asticots pleine
Qui faute d’inhumation
Puait le maroilles et l’arpion.

Devant ce spectre qui murmure
D’être privé de sépulture
Tous les morpions firent serment
De lui él’ver un monument.

En vain l’on chercha sa dépouille
Sur la pine et sur les deux couilles
On ne trouva qu’un bout de queue
Qu’un sabre avait coupé en deux.

La troupe aussitôt prend les armes
L’enterre en versant force larmes
Comme au convoi d’un cardinal
Ou bien d’un garde national.

Puis les plus jolies morpionnes
Portaient en pleurant des couronnes
De fleurs blanch’s et de poils de cul
Qu’avait tant aimé le vaincu.

Son cheval même l’accompagne
Et quatre morpions d’Espagne
Un’ larme à l’oeil le crêpe au bras
Tenaient les quatre coins du drap.

Au bord du profond précipice
On rangea les morpions novices
Ils déferlèr’nt par escadrons
Tout en sonnant de leurs clairons.

Ils le suivirent au cimetière
S’assirent en rond sur leur derrière
La crotte au cul, la larme à l’oeil
Tous les morpions étaient en deuil.

On lui él’va un cénotaphe
Où l’on grava cette épitaphe
« Ci-gît un morpion de valeur
Tombé sans vie au champ d’honneur. »

Et l’on en fit une relique
Que l’on mit dans un’ basilique
Pour que les futurs bataillons
Sachent comment meurt un morpion.

Sur une couill’ grosse et velue
L’on érigea une statue
A ce capitain’ de morpions
Mort si brav’ment au fond d’un con.

Depuis ce jour on voit dans l’ombre
A la porte d’un caveau sombre
Les morpions de noir vêtus
Montant la garde au trou du cul.

Depuis ce temps dans la vallée
On entend des bruits de mêlée
Les morpions pour venger l’vaincu
S’cramponnent à tous les poils du cul.

Et parfois les soirs de brume
Quand sur la terr’ se lèv’ la lune
On voit les âmes des morpions
Voltiger sur les poils du con.

 

 

 

 

EN DESCENDANT LA RUE D'ALGER

En descendant la rue d'Alger (bis)
Par une putain j’fus raccolé (bis)
Elle me dit d’un air tendre :
"Eh bien ?"
"Monte dedans ma chambre !"
Et vous m’entendez bien ?
Et nous t’entendons bien !

Moi qui suis d’l’université (bis)
J’aime à savoir ou j’mets les pieds (bis)
J’achète une chandelle
"Eh bien ?"
Pour monter chez la belle
Et vous m’entendez bien ?
Et nous t’entendons bien !

Moi qui n’suis qu’un grand dégoutant (bis)
Je monte l’escalier en m’branlant (bis)
En haut j’la carambole
"Eh bien ?"
Elle avait la vérole
Et vous m’entendez bien ?
Et nous t’entendons bien !

Quand la vérole fut attrapée (bis)
A l’hôpital fallut aller (bis)
A l’hôpital maritime
"Eh bien ?"
Me faire soigner la pine
Et vous m’entendez bien ?
Et nous t’entendons bien !

Ils m’ont foutu pour me soigner (bis)
Quatr’ carabins, six P.C.B. (bis)
Mais cette bande d’andouilles
"Eh bien ?"
Ils m’ont coupé les couilles
Et vous m’entendez bien ?
Et nous t’entendons bien !

Quand on a plus ni couilles ni vit (bis)
Rien ne vous plait, ni vous sourit (bis)
On s’en va au bordel
"Eh bien ?"
Faire minette aux maquerelles
Et vous m’entendez bien ?
Et nous t’entendons bien !

Depuis ce jour, soir et matin (bis)
Je maudis toutes les putains (bis)
Car elles me rappellent
"Eh bien ?"
Mes couilles qu’étaient si belles
Et qui marchaient si bien (bis)

 

 

 

EN REVENANT DE PARIS CHEZ MA TANTE

 

En revenant de Paris jusqu’à Nantes,
Oh ! lala, oh, lala, lala, lala, lala,
En revenant de Paris jusqu’à Nantes,
Tiens, voilà mon Zob, Zob, Zob,
Tiens, voilà mon Zob, Zobi !

J’ai rencontré trois jeunes filles charmantes...

J’ai pas choisi, mais j’ai pris la plus grande.

Je lui ai dit de monter dans ma chambre.

Je lui ai foutu cinq à six coups dans le ventre.

Quand j’eus fini, elle me dit : "Recommence !"

"Y a pas moyen, y a plus d’huile dans la lampe."

"Si c’est comme cela, tu reviendras dimanche."

"Et s’il en reste, ce sera pour la servante !"

 

 

 

 

 

LE CAMP DE CHÂLONS

 

En revenant du camp d'Châlons

Brindezingue, la faridondon !

J'ai rencontré Marie-Suzon

Tortille, broquille

Marchand de guenilles

A cheval sur la fille

Enculant la famille

Et le père et la mère

Et la vieille et le vieux !

Vinaigre et moutarde et chapeau de cocu

Prends ton nez, ta barbe et fous ça dans mon cul

Tap'ton cul contre le mien,

Va t'fair'foutr', moi j'en reviens

Où ?

Par derrièr'la maison

Et allons en vendange

Les raisins sont mûrs

Et allons en vendange

Les raisins sont beaux.

Brindezingue, la faridondaine

Brindezingue, la faridondon.

 

J'ai rencontré Marie-Suzon

Brindezingue, la faridondon

J'la fis asseoir sur le gazon

 

- En m'asseyant, je vis son con ...

 

- Il était noir comm'du charbon ...

 

- Et tout couvert de morpi-ons ...

- Y en avait cinq cent millions ...

 

- Qui défilaient par escadrons ...

 

- Comm'les soldats d'Napoléon ...

 

- Et moi, comme un foutu cochon ...

 

- J'ai baisé la Marie-Suzon ...

 

 

 

 

 

FANCHON

 

Amis il faut faire une pause
J'aperçois l'ombre d'un bouchon
Buvons a l'aimable Fanchon
Chantons pour elle quelque chose

REFRAIN
Ah c'que son entretien est bon
Qu'elle a de mérite et de gloire
Elle aime a rire elle aime a boire
Elle aime a chanter comme nous
Elle aime a rire elle aime a boire
Elle aime a chanter comme nous

Fanchon quoique bonne chrétienne
Fut baptisée avec du vin
Un bourguignon fut son parrain
Une bretonne sa marraine

Refrain

Fanchon préfère la grillade
A d'autres mets plus délicats
Son teint prend un nouvel éclat
Lorsqu'on lui verse une rasade

Refrain

Un jour le copain la grenade
Lui mit la main dans le corset
Elle répondit par un soufflet
Sur le museau du camarade

Refrain

Fanchon ne se montre cruelle
Que lorsqu'on lui parle d'amour
Mais moi je ne lui fais la cour
que pour m'enivrer avec elle

 

 

 

 

ILS ONT DES CHAPEAUX RONDS

 

Refrain : Ils ont des chapeaux ronds,
Vive la Bretagne!
Ils ont des chapeaux ronds,
Vive les Bretons!

Dans tous les coins de Bretagne,
Dans les fêtes et les pardons,
Tous les gars de la campagne
Fredonnent cette chanson :

Refrain

C'est la coutume en Bretagne,
A la fête du Grand Pardon,
Les filles montent au mât d' cocagne
Décrocher les saucissons...

Refrain

Quand il passe un "aéroplane",
Tous les hommes lèvent les yeux,
Quand il passe une jolie femme,
Tous les hommes lèvent la queue...

Refrain

L'autre jour boulevard Saint-Pierre,
J'ai rencontré deux amoureux,
Ils faisaient sur un tas d' pierre,
Ce que les autres ils font chez eux...

Refrain

Sur l' clocher l' coq du village
A toujours la queue au vent,
J'en connais qui dans la ville
Voudraient bien en faire autant...

Refrain

Avec les gars, Antoinette
A fait les cent dix-neuf coups,
Ça ne paye pas ses dettes,
Mais ça bouche toujours son trou...

Refrain

La Marie est bonne ménagère,
Quand elle va faire son marché,
L'aubergine n'est jamais chère,
Pour en faire un godemiché...

Refrain

Trois bandits dans une chaumière,
N'avaient rien pour se chauffer,
Ils chièrent sur la table
Et se chauffèrent à la fumée...

Refrain

Mon grand-père et ma grand-mère
Tous les soirs couchent tout nus,
C'est pour ça que ma grand-mère
A mordu grand-père au cul...

Refrain

Le curé de Saint-Sauveur
Quand il est mort il s'est pendu,
Les oiseaux n'ont pas eu peur
De faire leur nid dans 1' trou d' son cul.

Refrain

Il paraît qu'en Angleterre
Est un procédé nouveau:
Ils démontent les belles-mères
Pour en faire des chars d'assaut...

Refrain

Il paraît qu'en Angleterre
Ceux qui font caca par terre
On leur coupe le derrière
Pour en faire des pommes de terre...

Refrain

Il paraît qu'en Italie
Ceux qui font pipi au lit,
On leur coupe le zizi
Pour en faire des spaghetti...

Refrain

En revenant de l'Amérique
Sur le bateau du Canada,
Je faisais de la barre fixe
Sur la bête de mon papa...

Refrain

En Afrique les dromadaires
Ont la peau qu'est si tendue,
Que pour fermer les paupières
Ils doivent ouvrir le trou d' leur cul...

Refrain

Napoléon dans un caprice
Fit, d'sa femme, l'impératrice,
Mais les troufions, plus exigeants,
Firent d'un con un adjudant...

Refrain

A Paris les vieilles bigotes
Marchent toujours les yeux baissés,
C'est pour voir dans nos culottes
Si l'chinois n'est pas rel'vé...

Refrain

A l'enterrement de ma grand-mère
J'étais derrière, j'étais devant,
J'étais devant, j'étais derrière,
J'étais tout seul à l'enterrement...

Refrain

En passant par le cimetière
J'ai entendu un mort péter,
Ce qui prouve que sous terre
Ils n'ont pas le cul bouché...

Refrain

 

 

 

 

JEAN-FRANÇOIS DE NANTES

 

C'est Jean-François de Nantes
Oué, oué, oué,
Gabier de la Fringante
Oh ! mes bouées, Jean-François

[Sur le même modèle]

Débarque de la campagne
Fier comme un roi d'Espagne

En vrac dedans sa bourse
Il a vingt mois de course

Une montre, une chaîne
Qui vaut une baleine

Branl'bas chez son hôtesse
Carambole et largesses

La plus belle servante
L'emmène dans la soupente

En vida la bouteille
Tout son or appareille

Montre et chaîne s'envolent
Attrape la vérole

A l'hôpital de Nantes
Jean-François se lamente

Et les draps de sa couche
Déchire avec sa bouche

Il ferait de la peine
Même à son capitaine

Pauvr' Jean-François de Nantes
Gabier de la Fringante.

 

 

 

 

JEAN-GILLES

 

Beau-père, mon beau père,
Je viens me plaindre à vous.

De quoi vous plaignez-vous ?
Jean-Gilles, mon gendre,
De quoi vous plaignez-vous ?
Ma fille est toute à vous !

Oui mais que faut-il faire,
Quand nous sommes entre nous ?

Que ne la baisez-vous ?
Jean-Gilles mon gendre,
Que ne la baisez-vous ?
Ma fille est toute à vous !

Oui mais, si je la baise,
Des enfants elle me fout !

Que n'la pelotez vous,
Jean-Gilles mon gendre ?
Que n'la pelotez vous ?
Ma fille est tout à vous !

Oui mais si je la p'lote,
Ses seins deviendrons mous !

Que ne la branlez vous ?
Jean-Gilles, mon gendre,
Que ne la branler vous ?
Ma fille est toute à vous !

Oui mais si je la branle,
On se foutra de nous !

Que n'la gougnotez vous ?
Jean-Gilles mon gendre,
Que n'la gougnotez-vous ?
Ma fille est toute à vous !

Oui mais si j'la gougnote
Ca me laiss'ra comme un goût !

Que ne l'enculez vous ?
Jean-Gilles mon gendre,
Que ne l'enculez vous ?
Ma fille est toute à vous !

Oui mais si je l'encule
Elle me chiera partout !

C'est vous qui me fait's chier,
Jean-Gilles mon gendre
C'est vous qui me fait's chier !
Zut, Merde, et branlez vous !

 

 

 

 

 

 

JE BANDE

 

Paroles et musique : RINALDI - SARRUS - FILIPELI

 

Ce matin en me réveillant
Quelle surprise en regardant
Mes couilles
Là juste devant mes deux noix
C'est fou, je ne reconnais pas
Ma nouille


Hummmm, je bande
(Ah quelle quéquette qu'il a, ce mec-là)
Je bande
(Ah quelle quéquette qu'il a)


On est surement un jour férié
Jamais je n'ai eu un tel vier
D'athlète
Raide et tendu vers le plafond
Il coupe en deux mon horizon
C'est chouette
Hummmm chouette


Hooo, je bande
(Ah quelle quéquette qu'il a, ce mec-là)
Je bande
(Ah quelle quéquette qu'il a)
Ça c'est du zob, ça c'est du zob ouais
Oh quelle quéquette que j'ai
Ça c'est du zob, ça c'est du zob ouais
Oh quelle quéquette que j'ai
Je devrais m'en servir tout de suite
En me faisant une petite
Branlette
Oui, une branlette
Mais j'ai peur, si je prends mon pied
J'en suis sûr, je vais débander
Ce serait trop bête
Beaucoup trop bête


Hooo, je bande
Je bande
Ça c'est du zob, ça c'est du zob ouais
Oh quelle quéquette que j'ai
Ça c'est du zob, ça c'est du zob ouais
Oh quelle quéquette que j'ai
Ça c'est du zob, ça c'est du zob ouais
Oh quelle quéquette que j'ai

 

 

 

 

 

L'ARTILLEUR DE METZ

 

Quand l'artilleur de Metz
Arrive en garnison
Toutes les femmes de Metz
Se foutent le doigt dans l'con
Pour préparer l'chemin
A c't'artilleur rupin
Qui leur foutra si bien
Sa pine dans le vagin

Refrain

Oh artilleur mon frère
A ta santé buvons un verre
Et reprenons ce gai refrain
Vivent les femmes, les artilleurs et bon vin

Quand l'artilleur de Metz
Demande une faveur
Toutes les femmes de Metz
S'offrent à lui de bon coeur
Et les maris cornards
Voient c't'artilleur queutard
Baiser éperdument
La fille et la maman

Refrain

Quant l'artilleur de Metz
Change de garnison
Toutes les femmes de Metz
Se mettent à leur balcon
Pour saluer l'départ
De c't'artilleur queutard
Qui leur a tant foutu
Sa pine dans l'trou du cul

Refrain

 

 

 

 

L'INVALIDE Á LA PINE DE BOIS

 

Je viens d'voir, c'est un vrai prodige,
Enfoncés les frères Siamois.
Je viens d'voir, j'en ai le vertige,
L'invalide à la pine de bois.
Un homme dont la pine se dévisse,
Et qui se fout des morpions,
De la vérole, de la chaud'-pisse,
Ce qui l'emmerde, c'est les bubons.

Refrain
Il faut le voir pour le croire,
Venez y voir, venez y voir,
Il vous épatera, bourgeois,
L'invalide à la pine de bois, bois, bois,
L'invalide à la pine de bois.

Faut vous dire que cet homme étrange,
Possède plusieurs étuis,
Contenant des pines de rechange
En bois de différents pays.
De sa campagne d'Italie,
Ce brave et vaillant guerrier
A rapporté la plus jolie,
Sa pine en bois de laurier.

Refrain

Quand il a celle en bois de chêne,
De dix coups il porte le fardeau.
Quand il a celle en bois d'ébène,
Il baise comme un moricaud.
Il encule comme un Kabile,
Quand il a celle en Palmier.
Et il baise comme un imbécile,
Quand il a celle en olivier.

Refrain

Quand il a celle en bois de charme,
Aucune femme peut lui résister.
On le voit bander comme un carme,
Quand il a celle en poivrier.
Mais voilà son plus grand vice,
Dès qu'il voit une femme tousser,
Il met sa pine en bois d'réglisse,
Que vite il va lui faire sucer.

Refrain

Avec son étui fidèle,
Il peut toujours se contenter,
Veut-il enfoncer une pucelle,
Il met sa pine en oranger.
Et parfois, s'il est malade,
Il peut lui même se soigner,
Car il pisse de la limonade,
Avec sa pine en citronnier.

 

 

 

 

L'PÈRE DUPANLOUP

 

L'Père Dupanloup dans l'utérus, (bis)
Etait déjà si plein d'astuces (bis)
Que dans le ventre de sa mère
Il suçait la pine de son père.

Refrain
Ah! Ah! Ah! oui vraiment,
L'Père Dupanloup est dégoutant.

L'Père Dupanloup monte en ballon, (bis)
Mais il avait l'système si long (bis)
Qu'à trois cents mètres dans l'atmosphère
Ses couilles trainaient encore par terre.

Refrain

L'Père Dupanloup monte en bateau, (bis)
La pine en l'air, les couilles sous l'eau, (bis)
Les p'tits poissons, les grosses grenouilles
Lui tripotaient la peau des couilles.

Refrain

L'Père Dupanloup monte à vélo, (bis)
Mais il avait l'système si gros (bis)
Qu'en pédalant à perdre haleine
La peau d'ses couilles s'prit dans sa chaîne.

Refrain

L'Père Dupanloup, en chemin d'fer, (bis)
Désira mettre ses couilles à l'air. (bis)
Passant sa pine par la portière
Il creva l'oeil du garde-barrière.

Refrain

L'Père Dupanloup, à la cuisine, (bis)
Battait les oeufs avec sa pine. (bis)
Cochon, lui dit la cuisinière,
Fous-la-moi plutôt dans l'derrière.

Refrain

L'Père Dupanloup, l'quatorze juillet, (bis)
Alla s'prom'ner à dos d'mulet. (bis)
Pour que la fête soit complête
Il encula la pauvre bête.

Refrain

L'Père Dupanloup, à l'Opéra (bis)
Se conduisit comme un goujat. (bis)
Avec la peau de ses roupettes,
Il boucha l'trou des clarinettes.

Refrain

L'Père Dupanloup, à l'Odéon, (bis)
Se conduisit comme un cochon. (bis)
Au troisième acte, dans la coulisse,
Il enculait l'pompier d'service.

Refrain

L'Père Dupanloup à Saint Malo, (bis)
Confesse les femmes dans un tonneau. (bis)
Il passa sa pine par la bonde
Et dit : - Voilà l'sauveur du monde.

Refrain

L'Père Dupanloup, au Vatican, (bis)
S'conduisit comme un dégoutant. (bis)
Derrière la statue d'Esculape,
Il essaya d'enculer l'Pape.

Refrain

L'Père Dupanloup, en Amérique, (bis)
S'en va explorer le Mexique. (bis)
Lançant sa pine comme un lasso,
Il attrape les ch'vax au lasso.

Refrain

L'Père Dupanloup, à Zanzibar, (bis)
Voulait montrer tout son bazar. (bis)
Mais empêché par une patrouille
Ne put montrer qu'une de ses couilles.

Refrain

Au passage d'la Bérézina, (bis)
L'Père Dupanloup, se trouvait là. (bis)
Il mit sa pine sur la rivière,
Pour faire passer l'armée entière.

Refrain

A la prise de la smalah, (bis)
L'Père Dupanloup, il était là. (bis)
On l'chercha d'vant et puis derrière,
Il enculait les dromadaires.

Refrain

L'Père Dupanloup, à l'Institut, (bis)
Ne voulait voir que des culs nus. (bis)
Ne respectant aucune barrière,
Il enculait tous ses confrères.

Refrain

L'Père Dupanloup, au Parlement, (bis)
S'conduisit comme un garnement. (bis)
Monta jusque sur la tribune
Pour exhiber la peau d'ses burnes.

Refrain

L'Père Dupanloup, devenu vieux, (bis)
Ne bandait plus qu'un jour sur deux. (bis)
S'arrachant la pine avec rage,
Il s'en fit une canne de voyage.

Refrain

L'Père Dupanloup, dans son cercueil, (bis)
Bandait encore comme un chevreuil. (bis)
Avec sa pine en arc de cercle,
Il essaya d'soulever l'couvercle.

Refrain

L'Père Dupanloup, au Paradis, (bis)
Voulait enculer Jésus-Christ. (bis)
- Nom de Dieu ! dit l'Père Eternel,
Tu prends le ciel pour un bordel !

Refrain

L'Père Dupanloup fut tout confus (bis)
De ne pouvoir lui foutre au cul. (bis)
Branlant sa pine de part et d'autre,
Il aspergea les douze apôtres.

 

 

 

 

LA CHANSON DE BICÊTRE

 

Dans ce Bicêtre où l'on s'embête,
Loin de paris que je regrette,
J'ai bien souvent et longtemps médité
Sur la vieillesse et la caducité,
Amis, amis, apprenez à connaître,
Ce vieux refrain, ce refrain de Bicêtre ...

Refrain:
On n'peut pas bander toujours,
Il faut jouir des ses roupettes
On n'peut pas bander toujours,
Il faut jouir de ses amours!

D'un vieux, un jour, j'tenais la quéquette,
La sonde en main, de l'autre la cuvette,
Pendant ce temps mon esprit méditait
Ce que tout bas le vieillard me disait:
"Prenez bien soin de ces pauvres gogottes,
Un jour viendra vous pisserez sur vos bottes ..."

Refrain

Idiots, fous, épileptiques,
Sont des arguments sans réplique:
Tout dépérit, le pauvre genre humain
N'a plus d'espoir que dans le carabin.
Or, pour créer une race nouvelle
Jamais, enfants, ne mouchez la chandelle ...

Refrain

A l'oeuvre donc jeunes athlètes,
Gaillardement, engrossez les fillettes,
Baisez, foutez, ne craignez nul écueil;
Quand on est jeune, il faut baiser l'oeil,
Avec le temps, Vénus devient avare,
Aux pauvres vieux, le coup est cher et rare ...

Refrain

Quand la vieillesse triste et caduque
Vous foutra son pied sur la nuque,
Quand votre vit à jamais désossé,
Sur vos roustons pendra flasque et glacé
Allez crier à la face du prêtre
Ce vieux refrain de Bicêtre ...

 

 

 

 

LA DIGUE DU CUL

 

La digue du cul en revenant de Nantes ( bis )
De Nantes à Montaigu,
La digue la digue
De Nantes à Montaigu
La digue du cul

La digue du cul, je rencontre une belle ( bis )
Qui dormait le cul nu
La digue la digue
Qui dormait le cul nu
La digue du cul

La digue du cul j'arme mon arbalète ( bis )
Et j'lui fous droit dans le cul
La digue la digue
Et j'lui fout droit dans le cul
La digue du cul

La digue du cul la belle se réveille (bis)
Et dit " j'ai l'diable au cul "
La digue la digue
Et dit " j'ai l'diable au cul "
La digue du cul

La digue du cul non ce n'est pas le diable (bis)
Mais un gros dard poilu
La digue la digue
Mais un gros dard poilu
La digue du cul

La digue du cul qui bande et qui décharge (bis)
Et qui t'en fous plein l'cul
La digue la digue
Et qui t'en fout plein l'cul
La digue du cul

La digue du cul puisqu'y est qu'il y reste
Et qu'on en parle plus
La digue la digue
Et qu'on en parle plus
La digue du cul.

 

 

 

 

LA FEMME DU VIDANGEUR

 

L'autre jour, l'idée m'est venue
Cré nom de Dieu, d'enculer un pendu
Le vent soufflait sur la potence,
Voilà mon pendu qui s' balance,
Je n'ai pu l'enculer qu'en sautant
Cré nom de Dieu, on n'est jamais content

REFRAIN
La femme du vidangeur
Préfère à toute odeur
L'odeur de son amant
Qu'elle aime tendrement
Il était deux amants
Qui s'aimaient tendrement
Qui s'aimaient par devant
Par derrière
Il était deux amants
Qui s'aimaient tendrement
Qui faisaient par derrière
Ce qu'on fait par devant
La peau de mes rouleaux
Par tous les caporaux,
La peau de mes roupettes
Pour l' caporal trompette
La peau de mes roustons
Pour l' caporal clairon
Ce qui pend par devant
Ce s' ra pour l'adjudant
Le reste de la boutique
Pour le chef de musique
Mes balles
J'ai la castapian' dans l' ventre
Disait un curé à ses chantres
A ses enfants de chœur :
Déo Gratias
J'ai du poil au cul, du poil au cul du poil aux fesses
J'ai du poil au cul, du poil au con du poil au con
Tout décousu
Foutu !

Quand on baise un con trop petit
Cré nom de Dieu, on s'écorche le vit
Mais quand on baise un con trop large
On ne sent pas quand on décharge
Se masturber c'est quand même emmerdant
Cré nom de Dieu on n'est jamais content

REFRAIN

En arrivant au Paradis
J'ai sentis se lever mon vit
J'enculai Saint Michel Archange
La Sainte Vierge et tous les anges
Si l' bon Dieu n' s'était pas cavalé
Cré nom de lui, j' l'aurais enculé.

REFRAIN et FIN

 

 

 

 

LA GROSSE BITE A DUDULE

 

IIls etaient amoureux,
Ils s'aimaient tous les deux,
Ils etaient heureux.
Chaque soir, chaque matin,
Ils allaient au turbin,
Le coeur plein d'entrain.
A l'atelier, ses copines lui disaient :
"Pourquoi tu l'aimes tant ton Dudule ?
Il est pas beau,
Il est mal fait !
"Mais elle gentiment repondait :
"Z'en faites pas, les amies,
Moi c'que j'aime en lui..."

Refrain:
"C'est la grosse bite a Dudule,
J'la prends, j'la suce, elle m'encule,
Ah les amies, ah c'que c'est bon,
Quand il m'la carre dans l'oignon !
C'est pas une bite ordinaire,
Quand il m'la fout dans l'derriere,
J'me sens soudain toute remplie,
Du cul jusqu'au nombril,
Par Dudu-u-le."

Ça devait arriver,
Ils se sont mariés,
Ils ont convolé.
D'abord ça tourna rond,
Il caressa l'menton,
Puis flanqua des gnons.
A l'atelier, ses copines lui disaient :
"Pourquoi tu l'tues pas ton Dudule ?
Il t'a battue,
Il t'a cirée !
"Mais elle gentiment répondait :"
Z'en faites pas, les amies,

Moi c'que j'aime en lui..."

Refrain

 

 

 

 

 

LA PATROUILLE


Viens par ici, viens mon p'tit homme,
N'y-a pas tant d'monde, on n'y voit rien.
Déboutonne-toi tu verras comme,
Je s'rais gentille et j'aim'rai bien.
Tu m'donn'ras six sous pour ma peine.
Béni soit le noeud qui m'étrenne.
 

REFRAIN:
Ah! Ah! Ah! Ah!
C'est une patrouille! attends-moi là!
Entretiens-toi pendant qu'elle passe.
C'est une patrouille! attends-moi là!
Entretiens-toi pendant c'temps-là.

C'est des boueux, n'y prends pas garde.
Viens, que j'te magne ton p'tit outil.
Vrai, j'avais cru qu'c'était la garde.
Il bande encore, est-il gentil!
Allons, et que rien ne t'arrête,
Fais-moi cadeau d'ta p'tite burette.

Vrai, j'en ai t'y d'la veine tout d'même,
T'as du beau linge. Es-tu marié ?
T'es un bel homme, t'as des yeux qu'j'aime.
Tu dois au moins être épicier ?
Ou même représentant d'la Chambre.
Jouis donc, cochon. Ah! le beau membre !

J'ai beau magner ta p'tite affaire.
Qu'est-ce que t'as donc, qu't'en finis pas ?
C'est-y qu't'aurais trop bu d'la bière,
Ou bien ma gueule qui n'te r'vient pas ?
Pense à une femme qu'aurait d'belles cuisses,
Ou bien pense à l'Impératrice.

Qu'est-ce que tu dis ? Capote anglaise ?
Mon cul est aussi propre que l'tien.
Et je m'fous pas mal de ta braise.
Tu peux t'en r'tourner d'où tu viens.
Qui m'a foutu c't'espèce d'andouille,
Qu'a seulement rien dans l'fond des couilles ?

T'es rien poireau si tu supposes
Que j'vais t'la sucer pour vingt ronds.
Allons, aboule encore quéqu'chose,
Tu verras si j't'la pompe à fond.
Tiens, y-a le fils à M'sieur Auguste,
Qui m'donne trente sous quand j'la lui suce.

C'est des marlous d'ma connaissance.
Mais, par où donc qu'il est passé ?
Que j'y finisse sa p'tite jouissance.
C'est-y vous, M'sieur, qu'j'ai commencé ?
Eh! Non ça c'est pas chouette tout d'même,
C'est qu'il a du s'finir lui-même !

Refrain de fin :
Ah! Ah! Ah! Ah!
Cré nom de Dieu, cré nom de d'là !
Faut pas d'crédit dans c'métier là !
Cré nom de Dieu, cré nom de d'là !
Faut pas d'crédit dans c'métier là !
 

 

 

 

 

LA PEAU DE COUILLE

Y ’a que la peau de couille, pour conserver le tabac,
Voilà, voilà, voilà la chanson militaire.
Y’a que la peau de couille, pour conserver le tabac,
Voilà, voilà, voilà la chanson du soldat.
Moi je m’en fous, j’ai du poil au cul,
Ca me tient chaud l’hiver.
Et l’été je me les fait couper,
pour mieux respirer.

Tiens, Titine, voilà cent sous,
Pompe-moi le noeud,
Rends-moi trois francs.
Mais non monsieur, c’est bien trop peu,
Pour pomper un si gros noeud.

Poil au barbizon, mon cul sur la commode,
Poil au barbizon, mon cul sur le gazon.

Tripote-moi la bite avec les doigts,
Ah la belle biroute !
Tripote-moi la bite avec les doigts,
Ah la belle biroute en bois !

L’as-tu vu, oui je l’ai vu,
L’abricot de la cantinière.
L’as-tu vu, oui je l’ai vu,
Son petit abricot fendu.
Il est tout noir, il est tout blanc,
Il est fendu par derrière.
Il est tout noir, il est tout blanc,
Il est fendu par devant.
Ma mère, j’ai le con qui baille.
Ma fille, fous-y de la paille.
Cré nom de nom ! Quelle drôle d’invention,
Que de se foutre de la paille dans le con.
J’aimerais mieux un bon gros vit,
Que toute la paille du pays.

Oui, non, nous en avons des gamelles et des bidons :
Des gamelles plein le cul, des bidons plein le con.

Trou du cul, poil, poil, trou du cul, poil, poil,
Trou du cul, poil, poil partout.
Par devant, par derrière, par dessus, par dessous
Trou du cul, poil, poil partout.

Tarara dzim, ma femme a cent quarante de tour :
C’est ma faute, c’est de la faute à l’amour.
Tarara dzim, ma femme a cent quarante de tour :
C’est ma faute, c’est de la faute à l’amour.

Re, re, regarde donc,
La petite bonne du second,
Elle a le regard fixé
Sur le troisième bouton,
De la braguette
De mon pantaqui, de mon pantaquoi,
De mon pantalon.

Cré nom de Dieu,
Les jolis yeux !
Cré nom d’un chien,
Comme elle est bien !
Nom d’un bordel,
Comme elle est belle
Nom d’une putain,
Je la baiserais bien.

Elle est pucelle, non, non, vous vous trompez,
Je sens ma queue qui se dresse dans mon pantalon.
Ra, ra, rabats-la donc ta queue, cochon
Dans ton pantaqui, dans ton pantaquoi,
Dans ton pantalon.

Y a-t-il des cocus parmi nous ?
Lesquels que c’est ? Lesquels que c’est ?
Tous, tous, tous !

Ce n’est pas par le cul
Que se font les cocus,
Traîne tes couilles par terre,
Mais c’est bien par le con
Que les cocus se font,
Rabats-les donc tes roustons.

Traîne tes couilles par terre,
Prends ta pine à deux mains, mon cousin :
Nous partons en guerre,
Contre les putains.

L’as-tu connu, la putain de Nancy ?
Qui a foutu la vérole à toute la cavalerie ?
Les cavaliers qu’étaient pas dégourdis,
S’étaient pas aperçu qu’elle avait mal au cul.
Et les hussards qu’étaient plus démerdards,
S’en étaient aperçu, mais il était trop tard.
Mais les dragons qu’étaient pas des couillons,
Ont fichu la putain à la porte du boxon.

Baise, baise Marie-Thérese,
Baiseras-tu le trou de mon cul.

Quand je bande,
Ma pine touche mon ventre.
Quand je ne bande plus,
Ma pine touche mon cul.

C’était un chasseur qui n’avait pas peur
De se branler la pine dans sa carabine.
Le foutre coulait dans le bassinet,
Servant de liqueur aux autres chasseurs.

Quand je bande, je me demande
Où ma pine va s’arrêter.
De mon vit ferme jaillit le sperme
Comme la source jaillit du rocher.

Chasseur as-tu vu
Le trou de mon cul ?

Il est ovale, mon trou de balle.
Il n’est ni rond, ni carré, ni pointu.
Il est ovale, mon trou de balle.
Il est ovale, le trou de mon cul.

Trou de mon cul, madame Camus,
Elle est morte, elle est morte,
Trou de mon cul, madame Camus,
Elle est morte, elle ne baisera plus.
Tout ça lui bat dans les fesses
Trou de mon cul, madame Camus,
Elle est morte, elle est morte,
Trou de mon cul, madame Camus,
Elle est morte, elle ne baisera plus.
Ma grand-mère m’a fait voir son cul.
Ah ! Bon dieu, bon dieu qu’il était large :
Grand-Papa joue du billard dessus
Ah ! Bon dieu, bon dieu qu’il était large son cul !

Le trou trou de Grand-Maman
Fait lever la bite, fait lever la bite,
Le trou trou de Grand-Maman
Fait lever la bite à Grand-Papa.

La bibite à Grand-Papa
Fait mouiller le trou, fait mouiller le trou,
La bibite à Grand-Papa
Fait mouiller le trou à Grand-Maman.

La bite, la bite, la bite, la bite, c’est la bite à mon père,
La bite, la bite, la bite, la bite, c’est la bite à Papa,
C’est la bite à mon père, c’est la bite à Papa,
C’est la bite à mon père, c’est la bite à Papa,
Qui fait plaisir à Maman.

Non Maman, ne pleurez pas tant,
Nous allons couper la bite à Bertrand.
Mais avant de la lui couper,
Nous allons la lui attacher,
Attacher la bite à Bertrand,
Avec un ruban blanc.

Plaisir d’amour, ne dure qu’un instant !
La syphilis dure toute la vie.
De tous les animaux qui pissent,
Y a que la femme qui foute la chaude-pisse,
Mais...
Y’a que la peau de couille, pour conserver le tabac,
Voilà, voilà, voilà la chanson militaire.
Y’a que la peau de couille, pour conserver le tabac,
Voilà, voilà, voilà la chanson du soldat.

De tous les animaux qui baisent,
Y a que la femme qui demande de la braise,
Mais...
De tous les animaux qui chient,
Y a que l’homme qui se l’essuie,
Et quand le papier est trop menu,
Il se fourre son petit doigt dans le cul.

 

 

 

 

LA PIERREUSE

 

A qui veut casquer, pour un prix modique
Je promets de faire, et sans nul chiqué
Un travail soigné, tiré du classique
Pour un prix modique, à qui veut casquer.

Pour quatorze sous, la main dans la poche,
Mêm' sous l'oeil du flic qui me r'garde en d'ssous
J'astique le dard du typ' qui m'raccroche
La main dans la poche, pour quatorze sous.

Pour un franc vingt-cinq, dans une pissotière
Ou bien pour un franc, plus un marc sur le zinc
Quand les temps sont durs, j' glisse un' langu' légère
Dans une pissotière, pour un franc vingt-cinq.

Pour un larantequé c'est la simple passe
Un quart d'heure au plus, vas-y v'la baquet
Sur le bord du lit, j'étal' ma conasse
C'est la simple passe pour un larantequé.

Pour un franc de plus je me déshabille
Y-a du feu chez moi et je m'lave le cul
Je m'efforce d'être un peu plus gentille
Je me déshabille pour un franc de plus.

A qui dans mon bas glisse un' thune entière
C'est déjà l'grand jeu, j'complique mes ébats
J'laisse un peu plus d' temps pour se satisfaire
Pour un' thune entièr' glissée dans mon bas.

Pour sept ou huit francs, prix encore modeste
On peut s' faire en plus scalper l' mohican
Et prendre un billet d' retour, s'il en reste
Pour un prix modest', pour sept ou huit francs.

Pour un demi-louis, sans que j' m'ébouriffe
On peut, y-en a tant qu'ont gaché les prix,
S' fair' dans toutes les langues tutoyer l'Pontife
Sans que j' m'ébouriffe pour un demi-louis.

Pour un louis entier, si rare est la chose
Je suc'rais un homme de la tête aux pieds
Et je lui ferais dix fois feuill' de rose
Si rare est la chose, pour un louis entier !

 

 

 

 

 

LA POMPE Á MERDE

Soupe à l’oignon, bouillon démocratique,
Perdreau truffé du Boulevard Saint Germain,
Vous serez tous, c’est une loi physique,
Bouffés la veille, et chiés le lendemain.

Ambiance :
Une voix : "Faites avancer la première voiture",
(Avant le deuxième couplet ; "Deuxième voiture" etc)
Le choeur : hennissement du cheval.
La voix : "Vérifiez les manomètres"
Le choeur : sifflement
La voix : "Renversez la vapeur"
Le choeur : autre sifflement, de timbre différent
La voix : "En avant, tout doucement"

Et puisqu’il faut que rien n’se perde,
Dans la nature où tout est bon,
Amis poussons, poussons la pompe à merde,
Le jour se lève à l’horizon.

Pompons la merde
Et pompons-la gaiement
Et envoyons se faire foutre
Ceux qui ne sont pas nos frères
Pompons la merde
Et pompons-la gaiement
Et envoyons se faire foutre
Ceux qui ne sont pas contents

Entendez-vous, place de la République,
Quand les lampions commencent à s’allumer,
Le bruit joyeux de notre mécanique ?
La pompe à merde se met à fonctionner.

Fille de roi, de ta beauté si fière,
Tu dois chier, ainsi Dieu l’a voulu,
Ton cul royal, comme un cul prolétaire,
A la nature doit payer son tribut.

Humble ouvrier, ta modeste cuisine,
Te fait du riche envier les festins,
Console-toi, les produits qu’il rumine
Ne sentiront pas meilleur que les tiens.

Puissants du jour, qui bouchez vos narines,
Quand nous pompons le fruit de vos excès,
Si nous cessions de vider vos latrines,
Que sentiraient vos splendides palais ?

Ah ! Vanités des parfums de ce monde,
Roses, jasmins, qu’êtes-vous devenus ?
Vous embaumiez à cent lieues à la ronde,
La merde passe et l’on ne vous sent plus.

Nous voudrions que le canon tonne,
Et proclamant la patrie en danger,
Nous saurions tous, en vrai fils de Belonne,
Mieux que Cambronne, emmerder l’étranger.

Dieu, pour nos sens, créa les fraîches roses,
Le papillon aux brillantes couleurs,
Les gais refrains pour les esprits moroses,
Et pour nos culs, il fit les vidangeurs !

O, vidangeur à l’allure morose
Moque-toi bien du vil qu’en dira-t-on,
C’est la merde qui fait fleurir la rose
Honneur et gloire à tous nos beaux étrons.

Messieurs, Mesdames, si par ma chansonnette
J’ai déridé vos fronts par trop rêveurs.
Quand vous passerez devant une pompe honnête,
Venez, ensemble, nous pomperons en choeur,

Parlé :
Arrêtez, un homme est tombé dans la fosse.
Sauvez-le, sauvez le !
Trop tard !
Oh ! Merde !

 

 

 

 

LA P'TITE BRANLETTE

Paroles et musique : RINALDI - SARRUS - FILIPELI

 

Pour tirer un malheureux coup

Histoire de s'vider les balloches

Y'a des mecs qui font des trucs fous

I's'font des super cinoches

Les doigts d'pieds coincés dans l'armoire

Et les culottes en caoutchouc

J'ai mis tout ça au rencart

Car y'a un truc qu'est au-d'ssus d'tout

 

REFRAIN

La p'tite branlette

Pas b'soin d'aller chercher loin

La p'tite branlette

Ça mange pas d'pain ça fait du bien

La p'tite branlette

Ça dérange jamais les voisins

La p'tite branlette

C'est sur mesure ça coûte rien

En tout lieu à toute heure

La branlette c'est le bonheur

C'est l'pied à portée d'la main

 

Au plumard y'a des vrais champions

Des médaillés du radada

Qui font l'coup d'être en position

Pour épater les nanas

Tous ces mecs qui prennent leur braquemart

Pour un flingue à répétition

J'les laisse transpirer et j'me marre

J'préfère de loin ma solution

 

REFRAIN

La p'tite branlette

Pas b'soin d'aller chercher loin

La p'tite branlette

Ça mange pas d'pain ça fait du bien

La p'tite branlette

Ça dérange jamais les voisins

La p'tite branlette

C'est sur mesure ça coûte rien

En tout lieu à toute heure

La branlette c'est le bonheur

C'est l'pied c'est l'pied c'est l'pied à portée d'la main

C'est l'pied à portée d'la main

 

La p'tite branlette

Pas b'soin d'aller chercher loin

La p'tite branlette

Ça mange pas d'pain ça fait du bien

La p'tite branlette

Ça dérange jamais les voisins

La p'tite branlette

C'est sur mesure ça coûte rien

En tout lieu à toute heure

La branlette c'est le bonheur

C'est l'pied à portée d'la main

 

 

 

 

 

LA TERRE JAUNE

 

Y'a des gens et du beau monde
Qui se disent explorateurs
Qu'ont visité la mappemonde
Du pôle sud à l'équateur,
Moi qui n'ai pas de galette
Je vais à Parisiana, Hou!
Enculer une vieille tapette,
J'en suis pas plus fier pour çà (bis).

Y'en a qui pour leur bourgeoise
Prennent des poses en amateur
En brouette, à la chinoise
En levrette, en artilleur
Moi qui lèche avec ardeur,j'connais pas tous ces trucs-là!
J'leur fous tout dans l'trou qui pète,
J'en suis pas plus fier pour çà (bis).

Y'a des gens qui se harnachent
Giclent dans des pipes en bois
Et qui sucent des cravaches
Retirées de vieux babas
Je connais une vieille ganache
Qui s'fait chier sur l'estomac
Moi, j'me fais chier sur la pine
J'en suis pas plus fier pour çà (bis).

 

 

 

 

LE BATEAU DE VITS

 

Un bateau chargé de vits
Descendait une rivière
Une dame de Paris
Voulut en ach'ter un' paire

Refrain
Pan, pan! de la Bretonnière
Pan, pan! de la barbe au con

Une dame de Paris
Voulut s'sn ach'ter un' paire
Pour en choisir deux jolis
Envoya sa chambrière

Refrain

Chambrière, en femm' d'esprit
S'en est servi la première
Ell' s'en est si bien servi
Qu'ell' s'est pété la charnière

Refrain

Et du cul jusqu'au nombril
Ce n'est plus qu'une vaste ornière
Les morpions nagent dedans
Comme poissons en rivière

Refrain

... On croit baiser par devant
Va t' fair' foutr', c'est par derrière!
On croit être son amant,
On n'est qu' son apothicaire

Refrain

On croit l'aimer tendrement
On ne lui donn' qu'un clystère
On croit lui faire un enfant
Tout' la cam'lott' tomb' par terre

Refrain

Et on s' dit en l'écrasant :
Toi, tu n' tueras point ton père
Et tu n'écorcheras pas
Le joli con de ta mère.

 

 

 

 

LE CON ET LA BOUTEILLE

Nargué des pédants et des sots,
Qui viennent chagriner notre âme,
Que fit Dieu pour guérir nos maux.
Les vieux vins et les jeunes femmes,
Il créa pour notre bonheur
Le sexe et le jus de la treille.
Aussi je viens en son honneur
Chanter le con et la bouteille !

Dans l’Olympe, séjour des dieux,
On boit, on patine les fesses,
Et le nectar délicieux,
N’est que le foutre des déesses.
Si j’y vais, jamais Apollon
Ne charmera plus mon oreille :
De Vénus je saisis le con,
De Bacchus, je prends la bouteille !

Dans les bassinets féminins,
Quand on a trop brûlé d' amorces,
Quelques bouteilles de vieux vin
Au vit rendent toute sa force.
Amis, plus on boit, plus on fout.
Un buveur décharge à merveille.
Aussi le vin pour dire tout,
C’est du foutre mis en bouteille !

On ne peut pas toujours bander :
Du vit, le temps borne l’usage,
On se fatigue à décharger.
Amis, amis, on boit à tout âge !
Quand aux vieillards, aux froids couillons,
Qu’ils utilisent mieux leurs vieilles :
Quand on ne peut plus boucher des cons,
On débouche au moins des bouteilles !

Mais hélas ! Depuis bien longtemps,
Pour punir nos fautes maudites,
Le bon Dieu fait les cons trop grands,
Et les bouteilles trop petites !
Grand Dieu ! Fais, nous t’en supplions,
Par quelque nouvelle merveille,
Toujours trouver le fond du con,
Jamais celui de la bouteille !
 

 

 

 

LE CORDONNIER PAMPHILE

 

Le cordonnier Pamphile
A élu domicile
Près d' un couvent de filles
Et bien il s' en trouva

Ahah ! Ahah !
Et bien il s' en trouva (bis)

Car la gent monastique
Jetait dans sa boutique
Les trognons et les chiques
Restes de ses repas.

Ahah ! Ahah !
Restes de ses repas (bis)

Un jour la soeur javotte
S' asticotait la motte
Avec une carotte
Grosse comme le bras

Ahah ! Ahah !
Grosse comme le bras (bis)

Elle s'astique la tétasse
Se mouille la conasse
Mais quelqu' effort qu'ell' fasse
Le foutre ne vient pas

Ahah ! Ahah !
Le foutre ne vient pas

Mais comm' tout a un terme
Enfin jailli le sperme
Le con s'ouvre et se ferme
Et elle déchargea
Ahah ! Ahah !
Et elle déchargea

De l'ouverture beante
Elle retire ecumante
La carotte fumante
Et puis elle la jeta

Ahah ! Ahah !
Et puis elle la jeta (bis)

Par un hasard comique
La carotte impudique
Tomba dans la marmitte
Du cordonnier d'en bas.

Ahah ! Ahah !
Du cordonnier d'en bas

Il dit : "Ah ! quelle chance
C'est aujourd' hui dimanche
Elle est à la sauc' blanche
Et cuippe, il l' avala.

Ahah ! Ahah !
Et cuippe il l' avala.

"Cré non de Dieu fit-il
Cette carotte sent l'urine
Elle a servit de pine
Et il la dégueula

Ahah ! Ahah !
Et il la dégueula (bis)

 

 

 

 

LE CUL DE MA BLONDE

 

J’ai tâté du vin d’Argenteuil,
Mais ce vin m’a foutu la foire.
J’ai voulu tâter de la gloire,
Une balle m’a crevé l’œil.
Des catins du grand monde,
J’ai tâté la vertu.
Des splendeurs revenu,
Je veux tâter le cul
De ma blonde. (bis)
Je veux tâter le cul (bis)
De ma blonde. (bis)

Y a des gens qui font la grimace,
En voyant monsieur le curé,
Qui promène dans une chasse,
Un bon Dieu en cuivre doré.
Ce système qu’on fronde
Serait bien mieux reçu,
Si foutant là l’Jésus,
On promenait le cul
De ma blonde. (bis)
On promenait le cul (bis)
De ma blonde. (bis)

"Mon fils", me dit un vieux derviche,
"souffrez qu’on vous le dise,
A baiser sans permis d’Eglise,
Vous perdez le Paradis."
"Vous vous foutez du monde ?"
Dis-je à ce noir cocu,
"Le Paradis perdu
Vaut-il un poil du cul
De ma blonde ? (bis)
Vaut-il un poil du cul (bis)
De ma blonde ? (bis)

Preux guerriers, vaillants conquérants,
Fi de la gloire qui vous éclope !
Votre maîtresse est une salope,
Qui vous pince en vous caressant.
Empoigne-moi la ronde,
Et la lance et l’écu.
De peur d’être cocu,
Moi j’empoigne le cul
De ma blonde. (bis)
Moi j’empoigne le cul (bis)
De ma blonde. (bis)

Puisqu’ici-bas l’homme jeté
Doit mourir comme une victime,
Je me fous d’un trépas sublime,
J’emmerde l’immortalité !
Puissè-je en passant l’onde
Du fleuve au dieu cornu
Godiller ferme et dru,
Et mourir dans le cul
De ma blonde. (bis)
Et mourir dans le cul (bis)
De ma blonde. (bis)

 

 

 

 

LE CURÉ DE CAMARET

 

Les filles de Camaret se disent toutes vierges (bis)
Mais quand elles sont dans mon lit
Elles préfèrent tenir mon vît
Qu'un cierge. (ter)

Fillette de Camaret, où est ton pucelage ? (bis)
Il s'en allé sur l'eau
Par derriere les grands vaisseaux,
Il nage. (ter)

Mon mari s'en est allé à la pêche en Espagne. (bis)
Il m'a laissé sans le sou
Mais avec mon petit trou
J'en gagne. (ter)

Les rideaux de notre lit sont faits de serge rouge (bis)
Mais quand nous sommes dedans
La rage du cul nous prend,
Tout bouge. (ter)

Mon mari, que fais-tu là ? Tu me perces la cuisse. (bis)
Faut-il donc que tu soyes saoul
Pour ne pas trouver le trou
Qui pisse ! (ter)

Le maire de Camaret vient d'acheter un âne (bis)
Un âne républicain
Pour baiser toutes les putains
D' Bretagne. (ter)

Une simple supposition que tu serais ma tante, (bis)
Je te ferais le présent
De l'andouille qui me pend
Z'au ventre. (ter)

Si les filles de Camaret s'en vont à la prière, (bis)
C'n'est pas pour prier l' Seigneur,
Mais pour branler le prieur
Qui bande. (ter)

Le curé de Camaret a des couilles qui pendent (bis)
Et quand il s'assied dessus
Ça lui rentre dans le cul,
Il bande. (ter)

La servante à m'sieur l' curé a le ventre qui gargouille. (bis)
C'est qu'elle en a trop mangé
De l'andouille à m'sieur l' curé
D' l'andouille. (ter)

Célina, si tu m'aimais, tu me ferais des nouilles (bis)
Et, tandis que j' les mangerais,
Ton p'tit doigt me chatouill'rait
Les couilles. (ter)

 

 

 

 

LE CURÉ PINEAU

 

Je vais vous raconter l'histoire
De Pineau, curé de chez nous.
Je vais vous raconter l'histoire
De Pineau, curé de chez nous.
Pineau cu... papa,
Pineau cu... maman,
Pineau curé de chez nous.
Pineau cu... papa,
Pineau cu... maman,
Pineau curé de chez nous.

Monsieur l'curé est d'not' village,
C'est un vigilant pasteur.
C'est un vi...

Monsieur l'curé a des calottes,
Des calottes de drap noir.
Des calottes ...

Il pratique la botanique,
Il en connaît la douceur.
Il en conn...

Monsieur l'curé a un carrosse,
Ses roues pètent sur le pavé.
Ses roues pètent ...

Quand monsieur l'curé monte en chaire,
Son grand vicaire le suit.
Son grand vi...

Monsieur l'curé est un saint homme,
C'est un compagnon de Jésus.
C'est un com...

Monsieur l'curé a des plates-bandes,
Il en cultive les fleurs.
Il en cul...

Monsieur l'curé a une fontaine,
Au bord d'elle il va s'asseoir.
Au bord d'elle ...

Monsieur l'curé aime les anglaises
Pour leurs singularités.
Pour leurs sin...

Monsieur l'curé aime la Russie
Pour le Kummel délicieux.
Pour le Ku...

Monsieur l'curé aime les chinoises
Pour leur compréhensivité.
Pour leur com...

Monsieur l'curé dit au vicaire :
"Sortons zobserver le couchant".
"Sortons zob...

Celui qui a fait cette chanson,
C'est Pineau, curé, de chez nous.
Pineau, cu...

 

 

 

 

LE PLAISIR DES DIEUX

 

Du dieu Vulcain, quand l'épouse friponne
Va boxonner loin de son vieux sournois,
Le noir époux, que l'amour aiguillonne,
Tranquillement se polit le chinois.
Va-t-en, dit-il à sa fichue femelle,
Je me fous bien de ton con chassieux;
De mes cinq doigts, je fais une pucelle,
Masturbons-nous, c'est le plaisir des dieux,

Bah ! Laissons-lui ce plaisir ridicule,
Chacun, d'ailleurs, s'amuse à sa façon:
Moi, je préfèr' la manière d'Hercule,
Jamais sa main ne lui servit de con.
Le plus sal' trou, la plus vieille fendasse,
Rien n'échappait à son vit glorieux,
Nous serons fiers de marcher sur ses traces
Baisons, baisons, c'est le plaisir des dieux.

Du dieu Bacchus quand, accablé d'ivresse,
Le vit mollit et sur le con s'endort,
Soixante neuf et le vit se redresse;
Soixante neuf ferait bander un mort,
O clitoris, ton parfum de fromage
Fait regimber nos engins glorieux
A ta vertu, nous rendons tous hommage:
Gamahuchons, c'est le plaisir des dieux.

Pour Jupiter, façon vraiment divine,
Le con lui pue, il aime le goudron;
D'un moule à merde, il fait un moule à pine
Et bat le beurre au milieu de l'étron,
Cette façon est cruellement bonne
Pour terminer un gueuleton joyeux:
Après l' dessert, on s'encule en couronne,
Enculons-nous, c'est le plaisir des dieux. (bis)

Quand à Pluton, le dieu à large panse,
Le moindre effort lui semble fatigant;
Aussi, veut-il, sans craindre la dépense,
Faire sucer son pénis arrogant,
Et nous, rêvant aux extases passées,
Tout languissants, réjouissons nos yeux
En laissant faire une amante empressée,
Laissons sucer, c'est le plaisir des dieux. (bis)

Au reste, amis, qu'on en fasse à sa tête,
Main, con, cul, bouche, au plaisir tout est bon,
Sur quelqu'autel qu'on célèbre la fête,
Toujours là-haut, on est sûr du patron.
Foutre et jou-ir, voilà l'unique affaire,
Foutre et jou-ir: voilà quels sont nos,
, Foutons, amis, qu'importe la manière, (bis)
Foutons, foutons, c'est le plaisir des dieux.

 

 

 

 

LE POU ET L'ARAIGNÉE

 

Un jour un pou dans la rue
Rencontra, chemin faisant,
Chemin faisant,
Une araignée bon enfant,
Elle était toute velue,
Elle vendait du verre pilé
Pour s'ach'ter des p'tits souliers.

 

REFRAIN :
Là tu m', là tu m'emmerdes,
Là tu m', là tu m'fais chier.
Tu nous emmerdes.
Tu nous fais chier.
Tu nous emmerdes.
Tu nous fais chier.
Et l'on entend dans les champs
S'masturber les éléphants.
Et l'on entend dans les prés
S'enfiler les chimpanzés.
Et l'on entend sous les ormeaux
Battre la merde à coups d'marteau.
Et l'on entend sous les plumards
Battre le foutre à coups d'braquemarts.
Non, non, non, non, Saint Eloi n'est pas mort, (bis)
Car il bande encore, (bis)


Le pou, qui voulait la séduire,
L'emm'na chez l'mastroquet du coin,
Troquet du coin.
Lui offrit cinq à six coups d'vin,
L'araignée ne fit qu'en rire.
La pauvrette ne savait pas,
Qu'elle courait à son trépas.

Le pou, qui n'était qu'une canaille,
Lui offrit trois francs six sous,
Trois francs six sous.
Trois francs six sous, c'est pas beaucoup
Va, tu n'es qu'un rien qui vaille.
Si tu n'mets pas six sous d'plus,
Tu n'verras pas l'trou mon cul !

Alors, commencèrent les horreurs,
Le pou grimpa sur l'araignée,
Sur l'araignée.
Il n'pouvait plus décoller,
Tant il éprouvait d'bonheur.
Si bien qu' la pauvre araignée,
Ecopa d'la maternité.

Le père, d'l'araignée, en colère,
Lui dit : "Tu m'as déshonoré,
Déshonoré.
Tu t'as laissée enceintrer !
T'es encore plus putain qu'ta mère".
La pauvrette de désespoir
S'est filée treize coups d'rasoir. (s'est noyée dans une pissoire)

Le pou, le désespoir dans l'âme,
Se tire la barbe, s'arrache les ch'veux,
S'arrache les ch'veux.
Ah! qu'il dit, "Y-a plus d'bon Dieu"
Puis il monte à Notre-Dame,
Et c'est là, qu'il s'a foutu
Les cinq doigts et l'pouce dans l'cul.

Alors les poux du voisinage,
Se réunirent pour l'enterrer,
Pour l'enterrer,
Au cimetière de Champerret,
Tout comme un grand personnage.
A que c'était triste à voir
Tous ces poux en habit noir.
 

 

 

 

LE ROI DE BAVIÈRE

 

Il était naguère,
Un roi de Bavière,
Toujours suivi
D’un fol ennui,
Que rien ne pouvait distraire.

Un soir, sous l’ombrage,
Seul, avec son page,
Il entendit dans la forêt,
Une voix qui chantait :

Refrain :
"Moi je suis putain,
Sacré nom d’un chien !
Et pour un écu,
Je fais voir mes fesses.
Moi je suis putain,
Sacré nom d’un chien !
Et pour un écu,
Je fais voir mon cul."

"Page, quelle est cette voix de fauvette ?"
"Sire, c’est Agnès qui se branle seulette,
Et qui s’en va chantant,
Ce refrain si charmant."

"Gentille bergère,
Ta voix sut me plaire.
Dans mon palais, viens avec moi,
Mes trésors sont à toi."

"Sire, vos trésors ne me tentent guère
Vous pouvez vous les foutre au derrière."
Et le roi l’épousa,
Et le soir il chanta :

Petite putain, c’que tu baises bien.
Ton con chausse mon vit comme une chasse.
Petite putain, c’que tu baises bien.
Ton con chausse mon vit comme un écrin.

 

 

 

 LE 31 DU MOIS D'AOÛT

 

Le 31 du mois d'Août,
On vit venir, sous l'vent à nous, (Bis)
Une capote d'Angleterre,
Qui fendait la mer et les flots
Comme un joli petit bateau.

Refrain
Buvons un coup, buvons en deux,
A la santé des amoureux !
A la santé du roi de France !
Et merde pour le roi d'Angleterre,
Qui nous a déclaré la guerre.

Le capitaine, immédiatement ,
Fît arrêter son bâtiment, (Bis)
Et la capote d'Angleterre,
Fut pêchée par des matelots
Et remontée sur le bateau.

Refrain

Dans la capote, y'avait un mot,
Je suis au large de Bornéo, (Bis)
Naufragé sur une île déserte,
Avec trente filles qui ont le cul trop chaud,
Je n'ai plus qu'la peau sur les os

Refrain

Le capitaine, tout aussitôt,
Fit mettre le cap sur Bornéo, (Bis)
Mais quand enfin, on débarqua,
Le marin n'avait plus de roustons,
Et les filles se suçaient le bouton !

Refrain

En voyant débarquer les gars,
Les filles poussèrent des cris de joie, (Bis)
Et se jetèrent sur l'équipage,
Chacune étendue sur le dos,
Se fit baiser par trois matelots !

Refrain

Tout l'équipage, pendant un mois,
Baisa soixante-douze mille fois !
Et le navire revint en France,
Avec une vérole, mes agneaux !
Qui fut donnée à tout Bordeaux !

Refrain


   

 

 

LES BIROUTES

 

On vient d'fonder une société

On vient d'fonder une société

Une société

Où sont admis tous les jeunes gens

De 18 à 60 ans

De 18 à 60 ans

Suffit d'avoir une belle biroute

Allez allez dansez voltigez les biroutes

Ah c'qu'on est heureux c'qu'on est heureux c'qu'on est heureux

Ah quel plaisir d'avoir une belle biroute

Ah quel plaisir de pouvoir s'en servir

Avec avec du poil sur les rousses

 

Sur le même motif à chaque couplet

 

Si l'président vient à s'marier

On ira tous à son mariage

Avec une boite de cirage

On lui noircira sa biroute

 

Si l'président devient papa

Á sa fille on achètera

Une biroute en chocolat

Elle saura sucer les biroutes

 

Et quand l'un de vous mourira

On ira tous à l'enterrement

Les biroutes entre les dents

On f'ra pleurer toutes nos biroutes

 

Et si jamais il y a la guerre

On sera tous à la frontière

Avec nos biroutes en l'air

On f'ra décharger nos biroutes

 

 

 

LES BOUCHÉES Á LA REINE

 

Le Roi disait à la reine Victoi-a-re, 

Si tu voulais

Entre tes doigts réchauffer mon histoi-a-re, 

Je banderais, je banderais.

     

Si tu voulais dans ta royale bouche

Prendre mon vit

Tu pourrais dire praticienne farouche

Le roi jouit, le roi jouit."

    

Mais c'est en vain que la reine lui chatouille

Le trou du cul

Ses doigts légers lui patinent les couilles

C'est temps perdu, c'est temps perdu

   

Va, lui dit-il, ta peine est inutile

Je suis trop vieux

Va t'en trouver mon cousin de Joinville

Il bande mieux, il bande  mieux.

    

Ton de Joinville est un gros bande à l'aise

Qui l'autre jour

Pour m'enculer à la française

Me fit la cour, me fit la cour.

     

Et par trois fois, s'astiquant la quéquette

Il se branla

Mais il ne put enfoncer ma rosette

Il débanda, il débanda.

    

Tiens, dit le roi, tu vas voir apparaître

Un gros cochon

Car à l'instant je m'en vais te mettre

Ma langue au con, ma langue au con.

     

Et s'installant sur la royale bouche

Il lui suce le bouton

La reine alors lui décharg' dans sa bouche

Ah ! que c'est bon, ah ! que c'est bon !

    

Du trou du cul de la reine en folie

La merde sort

Le roi aval' ce que la reine chie

Ça lui fait tort, ça lui fait tort.

    

Cet excrément qu'il digère à grand peine

Monte et revient

Cré nom de Dieu les bouchées à la reine

Ça ne vaut rien, ça ne vaut rien.

 

 

LES CENT LOUIS D'OR

 

Un jour, étant en diligence,
Sur une route, entre deux bois,
Je branlais avec assurance
Une fillette au frais minois.
J’avais retroussé sa chemise,
Et mis le doigt sur son bouton,
Et je bandais, malgré la bise,
A déchirer mon pantalon.
Pour un quart d’heure entre ses cuisses,
Un prince eût donné un trésor,
Et moi j’aurais, Dieu me bénisse,
J’aurais donné cent louis d’or.

Las de branler sans résistance,
La tête en feu, la bite aussi,
Je pris sa main, quelle indécence,
Et la mis en forme d’étui.
Je jouissais à perdre haleine,
Je déchargeais, quel embarras !
Sa main, sa robe en étaient pleines,
Et cela ne me suffisait pas.
Sentant rallumer ma fournaise,
Je lui dit : "Tiens, fais plus encore,
Sortons d’ici, que je te baise,
Je te promets cent louis d’or."

La belle, alors, toute confuse,
Me répondit ingénuement :
"Pardon, monsieur, si je refuse
Ce que vous m’offrez galamment,
Mais j’ai juré d’être sage,
Pour mon fiancé, pour mon mari,
De conserver mon pucelage,
Il ne sera jamais qu’à lui."
"Tu n’aura pas le ridicule",
Dis-je, d’arrêter mon essor.
Permet au moins que je t’encule,
Je te promets cent louis d’or."

Au premier relais, sur la route,
Nous descendîmes promptement :
"Au cul, il faut que je te foute,
Ne pouvant te foutre autrement."
Dans une auberge, nous entrâmes :
Tout s’y trouvait, bon feu, bon lit,
Brûlant d’amour, nous nous couchâmes,
Je l’enculai toute la nuit.
Afin de changer de jouissance,
Je lui dit : "Tiens, fais plus encore,
Livre ton con, et tout d’avance,
Je te promets cent louis d’or."

"Je veux bien, sans plus de harangue",
Dit-elle, en me suçant le gland,
"Livrer mon con à votre langue,
Pour ne pas trahir mon serment."
Aussitôt, placés tête-bêche,
Comme deux amoureux, dans le lit,
Avec ardeur, moi je la lèche,
Pendant qu’elle me suçait le vit.
Mais la voyant bientôt pâmée,
Je pus lui ravir son trésor,
Et je me dis, la pine entrée :
"Je gagne mes cent louis d’or."

Huit jours après cette aventure,
J’étais de retour à Paris,
Ne prenant plus de nourriture,
Restant tout pensif au logis.
A la gorge et à la pine,
J’avais, c’est inquiétant,
Chancre, bubon, et on l’devine,
Une chaude-pisse en même temps.
Prenant le parti le plus sage,
Je me transportais chez Ricord,
Qui me dit : "un tel pucelage
Vous coûtera cent louis d’or !"

 

 

 

LES FILLES DES FORGES

 

Digue, ding don, don, ce sont les filles des forges
Des forges de Paimpont, digue ding dondaine
Des forges de Paimpont, dingue ding dondon

Digue, ding don, don, elles s'en vont à confesse
Au curé du canton, digue ding dondaine
Au curé du canton, dingue ding dondon

Digue, ding don, don, qu'avions-vous fait les filles
Pour demander pardon, digue ding dondaine
Pour demander pardon, dingue ding dondon

Digue, ding don, don, j'avions couru les bals
Et les jolis garçons, digue ding dondaine
Et les jolis garçons, dingue ding dondon

Digue, ding don, don, ma fille pour pénitence
Nous nous embrasserons, digue ding dondaine
Nous nous embrasserons, dingue ding dondon

Digue, ding don, don, je n'embrasse point les prêtres
Mais les jolis garçons, digue ding dondaine
Qu'ont du poil au menton, dingue ding dondon

Digue, ding don, don, ce sont les filles des forges
Des forges de Paimpont, digue ding dondaine
Des forges de Paimpont, dingue ding dondon

 

 

 

 

LES POILS DU CUL

Faut-il avoir du poil au cul ?
Comment résoudre cette affaire ?
Les uns disaient : "C’est nécessaire."
Les autres : "C’est superflu."
Dans ce débat contradictoire,
Où rien encore n’est résolu,
La Bible, la fable ou l’histoire
Vont vous parler des poils au cul. (bis)

Adam, sans doute était velu,
Car cet insecte parasite,
Qui sur nos couilles fait son gîte,
Par un froid vif et morfondu.
Or Dieu, qui donna la pâture
A l’oiseau faible et peu vêtu,
Aux morpions, pour couverture,
Donna les poils de notre cul. (bis)

Ce fut David, sans poil au cul,
Qui, armé d’une simple fronde,
Mais d’une main que Dieu seconde,
Tua Goliath au cul velu.
Ceci nous prouve bien, je pense,
Que tout homme bien résolu
Doit compter sur la Providence
Plus que sur les poils de son cul. (bis)

Ce fut par un poil de son cul,
D’une longueur phénoménale,
Qu’au bout de la branche fatale,
Absalon resta suspendu.
Depuis ce trépas mémorable,
Tous les hébreux ont résolu,
Pour éviter un sort semblable,
De se raser les poils du cul. (bis)

Samson, qui certes était velu,
A vu, par une main traîtresse,
Avec le poil noir de sa fesse
Tomber sa force et sa vertu,
Sous les ciseaux qui le dépeuplent.
C’est ainsi que le sort des peuples
Tient, dit la Bible, aux poils du cul. (bis)

"Faut-il avoir du poil au cul ?"
Disait Hercule, aux pieds d’Omphale.
"Et que t’importe, ô ma vestale,
Un rouston plus ou moins velu."
Et, tout en découvrant ses couilles,
De poils lustrés, noirs et touffus,
Il enroula sur la quenouille
Cent écheveaux de poils du cul. (bis)

"Faut-il avoir du poil au cul ?"
Disait Thésée aux Amazones,
Après qu’à cent de ces personnes,
Sa pine au cul, il eut foutu.
Bandant encore, à la dernière,
Il dit : "Ma belle, qu’en penses-tu ?"
"Cré nom de Zeus !", dit la guerrière,
"Il faut avoir du poil au cul." (bis)

Au temps de nos rois chevelus,
Et de l’antique loi salique,
C’était un titre honorifique
Que de porter du poil au cul.
Mais notre siècle égalitaire
A réformé tous ces abus,
Et maintenant le prolétaire,
Peut se payer du poil au cul. (bis)

"Faut-il avoir du poil au cul ?"
Vous connaissez tous la pucelle,
Et certes ce fut bien par elle
Que les anglais furent vaincus.
A la vue de son oriflamme,
Tous les anglais au cul velu
Ont foutu l’camp devant une femme,
Qui n’avait pas de poil au cul. (bis)

"Faut-il avoir du poil au cul ?"
Disait Henri au duc de Guise.
Mais celui-ci, qui le méprise,
A la question n’a répondu.
Pour lors, le roi, dans sa colère,
S’écria : "Je veux qu’on le tue.
Nous pourrons voir, de cette manière,
Voir s’il avait du poil au cul." (bis)

Avaient-ils donc du poil au cul,
Quand, pris d’une ardeur toute antique,
A l’appel de la République,
Femmes et vieillards sont accourus.
Armés d’une ardeur sans pareille,
Jusqu’aux enfants tous s’sont battus,
Car la valeur, a dit Corneille,
N’a pas besoin de poils au cul. (bis)

"Faut-il avoir du poil au cul ?"
Disait, au pied des pyramides,
A ses soldats intrépides,
Un général, de tous connu.
Jamais français, dans la bataille,
Fût-il vainqueur, fût-il vaincu,
A l’ennemi, sous la mitraille,
N’a montré les poils de son cul. (bis)

"Faut-il avoir du poil au cul ?"
Disait au bon Monsieur Fallières
Un attaché très militaire,
Qui portait un casque pointu.
Alors l’homme, à La Vallière,
Lui dit : "Soyez bien convaincu,
Les français, si survient la guerre,
Vous botteront les poils du cul." (bis)

Ce fut par un poil de son cul,
Dégraissé pour la circonstance,
Que l’hydromètre fut, en France,
Par De Saussure suspendu.
Ceci prouve, à l’évidence,
Que tout français, chauve ou poilu,
Doit préserver pour la science
Le plus long des poils de son cul. (bis)

"Faut-il avoir du poil au cul ?"
Nous avons, en cette rencontre,
Pesé le pour, pesé le contre,
Et rien encore n’est résolu.
Mais un avis, que je crois sage,
Que rien encore n’a combattu,
C’est qu’il vaut mieux, pour son usage,
Un cul sans poil, qu’un poil sans cul. (bis)

 

 

 

 

                           LES TROIS ORFÈVRES

Trois orfèvres à la St-Eloi
S'en allèrent diner chez un autre orfèvre
Trois orfèvres à la St-Eloi
S'en allèrent diner chez un autr' bourgeois
Ils ont baisé toute la famille
La mère au nichon
Le père au cul
La fille au con.

REFRAIN
Relevez, la belle, votre blanc jupon
Qu'on vous voie le cul, qu'on vous voie les fesses
Relevez, la belle, votre blanc jupon
Qu'on vous voie le cul, qu'on vous voie le con

La servante qui avait tout vu
Leur dit : "Foutez-moi votre pine aux fesses"
La servante qui avait tout vu
Leur dit : "Foutez-moi votre pine dans l'cul"
Tous trois l'ont baisée assis sur une chaise
La chaise a cassé
Ils sont tombés sans débander.

Refrain

Les orfèvres non contents de ca
Montèrent sur le toit pour baiser minette
Les orfèvres non contents de ca
Montèrent sur le toit pour baiser le chat
Chat, petit chat, chat, tu m'égratignes
Petit polisson, tu m'égratignes
Les roustons.

Refrain

Les orfèvres chez le pâtissier
Entrèrent pour manger quelques friandises
Les orfèvres chez le pâtissier
Par les marmitons se firent enculer
Puis voyant leur vit plein de merde
Ils ont bouffé ca
En guise d'éclair au chocolat.

Refrain

Les orfèvres au son du canon
Se retrouveront tous à la frontière
Les orfèvres au son du canon
En guis' de boulets lanceront des étrons
En bandant tous comme des carmes
A grands coups de vits
Repousseront les ennemis.
 

 

 

 

OH MA MÈRE

 

Oh ma mère ma pauvre mère

Je voudrais me marier (bis)

Je voudrais me marier, comme les autres.
Pour avoir filles et garçons,
Comme les autres font.

Mais ma fille ! Ma pauvre fille !
De quoi les nourriras-tu ?

Je les nourrirai de lait,
Du lait de mes blancs nichons.

Mais ma fille ! Ma pauvre fille !
De quoi les vêtiras-tu ?

Je les vêtirai, ma mère,
De laine et de blanc coton.

Mais ma fille ! Ma pauvre fille !
De l’argent en auras-tu ?

Le soir derrière les buissons,
Je retrousserai mes blancs jupons.

Mais ma fille ! Ma pauvre fille !
Ton mari sera cocu ?

Si mon mari est cocu,
Il portera des cornes au front.

Mais ma fille ! Ma pauvre fille !
Et ta vertu, qu’en fais-tu ?

Ma vertu je l’ai au cul,
Ma vertu je l’ai au con.

Mais ma fille ! Ma pauvre fille !
Ton honneur sera perdu ?

Si mon honneur est perdu,
J’m’engagerai dans un boxon.

Mais ma fille ! Ma pauvre fille !
Dans c’boxon qu’y feras-tu ?

J’y pousserai du cul, du con,
J’y attraperai des morpions.

Mais ma fille ! Ma pauvre fille !
T’attraperas du mal au cul.

Si j’attrape du mal au cul,
J’me foutrai des injections.

 

 

 

 

OH MON BERGER FIDÈLE

 

REFRAIN
Ah! fous-moi donc ta pine dans le cul,
Et qu'on en finisse!
Ah! fous-moi donc ta pine dans le cul,
Et qu'on en parle plus!

O mon berger fidèle,
Viens t'en reposer sur mon coeur.
A ma voix qui t'appelle,
Viens t'en me donner du bonheur.

Refrain

Ta langue me chatouille,
Jusque dans le fond du gosier.
Et ton doigt me trifouille
Bien plus bas que le gésier.


Refrain

Je sens tes testicules,
Battre contre mon gros pétard.
Je crois que tu m'encules.
Ah! le vigoureux braquemart.

Refrain

Mais ta queue devient molle,
Tu ne peux plus bander.
De désir je suis folle,
Passe-moi donc le godemiché!

Ah! fous-moi l'godemiché dans le cul,
Et qu'on en finisse!
Ah! fous-moi l'godemiché dans le cul,
Et qu'on en parle plus!

 

 

 

 

PSAUMES

 

Le duc de Bordeaux ressemble à son frère
Son frère à son père et son père à mon cul
De là je déduis qu'le duc de Bordeaux
Ressemble à mon cul comme deux gouttes d'eau.
 

Nom de Dieu disait la princesse

En voyant la pine du baron

J'aimerais l'avoir dans les fesses

Que d'la voir dans son pantalon
 

Grand Saint-Symphorien,
Confessez nos femmes (bis),
Confessez-les bien (bis).


Les petites filles qui vont à la messe,
Se mettent des coussins sous les genoux,
Elles feraient mieux de se les mettre sous les fesses,
Afin de mieux tirer un coup !

La duchesse de la Trémouille,
Malgré sa grande piété,
A patiné plus de paires de couilles
Que la grande armée n’a usé de sous-pieds !

Le duc de Dampierre ayant déclaré
Que tous les cocus devaient être noyés,
Madame de Dampierre lui a demandé,
S’il était bien sûr de savoir nager !!!

Si les femmes pissaient du vinaigre,
Et chiaient du poivre moulu,
La salade serait bientôt faite,
Avec le cresson qui leur pousse au cul.

 

 

 

SA GRANDE PINE

 

J'étais pucelle et ce soir-là,

Dans le jardin, sous les glycines,

Mon premier béguin me montra

Sa Grande Pine

Puis, fourrageant sous mon jupon,

Sa forte main se fit câline,

Et je sentis dans un frisson

Sa Grande Pine

 

D'abord je criai de douleur,

Mais dans sa rage qui s'obstine

Elle m'enseigna le bonheur

Sa Grande Pine

Et labourée par ses assauts,

Je gémis la plainte divine

Que m'arracha dans ses sursauts

Sa Grande Pine

 

Tout me devint indifférent,

Succès, richesse ou bien débine,

Lorsque je sentis dans mes flancs

Sa Grande Pine

Depuis je ne crains plus, ma foi,

Tout ce que le sort me destine,

Pourvu que bande auprès de moi

Sa Grande Pine

 

Elle s'égare quelquefois

Dans ma bouche rendue coquine,

Ou bien se meurt entre mes doigts,

Sa Grande Pine

Ou bien, sur un rythme insensé,

Rêvant d'un gars de la marine,

Elle se trompe de coté,

Sa Grande Pine

 

Qu’aux années s'ajoutent les ans,

Que lassitude se devine,

Je ne veux mourir qu'en serrant

Sa Grande Pine

Et plutôt que le Paradis,

Mieux vaux l'Enfer où se dessine,

Dans l'ombre des plaisirs maudits,

Sa Grande Pine

 

 

 

 

SUCE MA PINE

 

Paroles et musique : RINALDI - SARRUS - FILIPELI

Je connais une enfant
Pleine de talent
Douce et câline
Qui aime la pine

Tous les mercredis soirs
Elle vient me voir
Derrière l'usine
Pour sucer ma pine


Pendant qu'avec adresse
Elle me touche les fesses
Sa petite bouche butine

Ma pine

 

REFRAIN
Elle suce suce suce suce suce suce suce suce ma pine

Elle suce suce suce suce suce suce suce suce ma pine
Je n'connais personne qui suce ma pine
Comme ça

Sucer c'est un métier
Y'a des gens doués
Et cette gamine
Est faite pour ma pine

Sa bouche a du talent
J'parl' pas d'ses dents
Quand elle taquine
Le bout de ma pine

Avec son annulaire
Elle chatouill' mon derrière
Pendant que ses canines
Mordillent ma pine

REFRAIN

Qu'il est beau cet anneau
Ce rond dans l'eau
Qu'elle dessine
Autour de ma pine

Je n'échangerais pas
Ces lèvres là
Contre une mounine
Pour glisser ma pine

Sans parler des dangers
Qu'elle me fait éviter
Y'a pas d'pénicilline
Autour de ma pine

REFRAIN

 

 

TAPE TA PINE

 

En revenant de la Foire
De la foire à Montbrison
J'ai rencontré trois p'tites filles, tape ta pine
Trois p'tites filles et trois garçons
Tape ta pine contre mon con...

J'ai rencontré trois p'tites filles
Trois p'tites filles et trois garçons
Les garçons disaient aux filles : tape ta pine
Les filles disaient aux garçons :
Tape ta pine contre mon con...

Les garçons disaient aux filles
Les filles disaient aux garçons
Si vous n'étiez pas si bêtes, tape ta pine
Soulèveriez vos jupons
Tape ta pine contre mon con...

Si vous n'étiez pas si bêtes
Soulèveriez vos jupons
Vous y verriez une p'tite bête, tape ta pine
Pas plus grosse qu'un hérisson
Tape ta pine contre mon con...

Vous y verriez une p'tite bête
Pas plus grosse qu'un hérisson
Avec du poil bien moins raide, tape ta pine
Tape ta pine contre mon con...

Avec du poil bien moins raide
Mais aussi beaucoup moins long
Tenez votre pine bien raide, tape ta pine
Enfoncez la jusqu'au fond
Tape ta pine contre mon con...

Tenez votre pine bien raide
Enfoncez la jusqu'au fond
Les roustons restent à la porte, tape ta pine
Pour danser le rigodon
Tape ta pine contre mon con...

Les roustons restent à la porte
Pour danser le rigodon
Trois poils du cul leur demandent, tape ta pine
Que faîtes-vous là roustons?
Tape ta pine contre mon con...

Trois poils du cul leur demandent
Que faîtes-vous là roustons ?
Nous attendons notre maître, tape ta pine
Qu'est entré dans la maison
Tape ta pine contre mon con...

Nous attendons notre maître
Qu'est entré dans la maison
Il est entré bien raide, tape ta pine
Il en sortira moins long
Tape ta pine contre mon con.

 

 

 

VIVENT LES ÉTUDIANTS

 

Vivent les étudiants
Ohé, Ohé vivent les étudiants de France
Ohé, Ohé vivent les étudiants français

Les femmes des étudiants
Sont chaudes comme de la braise
Quand elles n'ont pas d'amant
Elles prennent des barreaux d'chaise

Ohé, Ohé vivent les étudiants de France
Ohé, Ohé vivent les étudiants français

Nous irons au bordel
Nos pères y allaient bien
Enculer les maquerelles
Et baiser les putains

Ohé, Ohé vivent les étudiants de France
Ohé, Ohé vivent les étudiants français

Nous irons à l'église
Nos pères y allaient bien
Enculer la prêtrise
Et branler l'sacristain

Ohé, Ohé vivent les étudiants de France
Ohé, Ohé vivent les étudiants français

Quand nous irons en Chine
Les femmes des mandarins
Nous suceront la pine
Au son des tambourins

Ohé, Ohé vivent les étudiants de France
Ohé, Ohé vivent les étudiants français

Si ta femme est gentille
Bourgeois faut la prêter
Sinon gare à ta fille
Elle se fera violer

Ohé, Ohé vivent les étudiants de France
Ohé, Ohé vivent les étudiants français

Si le bourgeois rouspète
Il se fera cirer
Cirer sur les roupettes
Jusqu'au jugement dernier

Ohé, Ohé vivent les étudiants de France
Ohé, Ohé vivent les étudiants français